vendredi 21 janvier 2011

Chapitre 14: Petites amies

Coucou! Vraiment désolée pour le retard, mais entre les cours, et mes exams, j'ai pas eu beaucoup de temps! Vous voulez bien me pardonner?*moue à la Alice* Pour mes examens, ça s'est plutôt bien passé, maintenant il faut attendre les résultats, mais j'ai bon espoir :)
On se retrouve à la fin.
Disclaimer: Stephenie Meyer ne m'a toujours pas donné ses droits sur les personnages, dommage!
L'histoire ne m'appartient toujours pas non plus, mais à anoek013, qui m'a fait l'honneur de m'autoriser à la traduire^^

Bonne lecture!
Chapitre 14: Petites amies
POV Bella
Ma mère me réveilla pour l'école. J'avais déjà repoussé trois fois le réveil et j'essayais de me rendormir.
"Bella, ma puce. Tu dois aller à l'école. Tu ne te sens toujours pas bien?"
Je secouai la tête.
"Dois-je appeler l'école pour dire que tu es souffrante?"
J'acquiesçai et enfonçai un peu plus ma tête dans l'oreiller. J'entendis ma mère sortir de la chambre. Je ne voulais pas avoir affaire à Edward aujourd'hui. Je ne saurais pas quoi lui dire, et je n'avais pas envie non plus de lui expliquer je m'étais enfuis hier soir. Qu'est-ce que j'aurais pu lui dire? "Oh, Edward, je t'aime tellement que je me suis enfuie"? Ça serait un peu étrange comme comme explication, non?
Ma mère revint dans ma chambre avec un sceau et une biscotte au fromage. "J'ai appelé l'école, ton père est au boulot et je dois partir aussi. Ça ira quand même?"
J'acquiesçai à nouveau.
Elle m'embrassa sur le front. "Ok, si ça ne va pas, tu me téléphones. Je t'appellerai pendant ma pause déjeuner pour voir si ça va, d'accord?
Je hochai à nouveau de la tête. Elle m'embrassa à nouveau et sortit de la chambre.
J'essayai de replonger dans le sommeil qui m'avait fuie cette nuit. Je fermai les yeux et tentai de me rendormir.
L'instant suivant, j'entendais mon téléphone sonner. Je jetai un oeil au sms que j'avais reçu.
Bella!
Ouvre la porte s'il te plait. On est en bas.
Bisous, Rosalie et Alice.
Je regardai par la fenêtre et vis Alice et Rosalie devant. Je sortis lentement de mon lit et m'aperçus que j'étais en pyjama. Ma mère avait dû me changer la veille car j'étais à peu près sûre de m'être endormie toute habillée.
J'avais la flemme de sortir, donc je pris les clés dans la table de nuit et les lançai par la fenêtre. Rosalie les rattrapa et ouvrit la porte. Je retournai au lit et me mis les couvertures sur la tête.
Pourvu qu'il ne soit pas avec elles
J'entendis des pas dans les escaliers et rapidement la porte de ma chambre s'ouvrit et je sentis quatre bras m'entourer. Alice se mit à coté de moi tandis que Rosalie faisait le tour du lit pour se trouver de l'autre coté.
Nous restâmes ainsi en silence dix minutes. On n'entendait que le bruit de nos respirations. Les larmes recommencèrent à affluer. J'enfonçai ma tête dans l'oreiller.
"Bella, ça va?" La voix d'Alice était empreinte d'inquiétude.
Je secouai la tête, n'étant pas en état de parler. Si j'ouvrais la bouche maintenant, on entendrait sûrement la peine et la douleur dans ma voix. Je ne voulais pas qu'elles sachent que je pleurais pour lui.
Et comme toujours, mes souhaits ne furent pas exaucés.
Alice me tourna la tête afin de me regarder dans les yeux. Quand elle s'aperçut que j'avais les larmes aux yeux, elle me serra contre elle. Elle me chuchota à l'oreille. "C'est à cause d'hier soir?"
J'acquiesçai. Elles connaissaient déjà mes sentiments pour lui. Ça ne servait à rien de mentir puisqu'elle le savait déjà. Et après tout, ça me ferait sûrement du bien d'en parler à quelqu'un.
"Oh, Bella!" S'exclama-t-elle en me serrant encore plus fort. Rosalie me caressait tendrement les cheveux. C'était génial d'avoir d'aussi bonnes amies. "Pourquoi tu t'es enfuie hier soir? On était bouleversées, on ne savait pas si tu étais bien rentrée, on ne savait..."
Je la coupai avant qu'elle ne me culpabilise encore plus. "Je suis désolée Alice. Je voulais vous appeler mais j'ai perdu mon sac."
A ce moment elle me montra un objet qu'elle tenait dans sa main. Mon sac. "Edward l'a retrouvé hier soir, après avoir essayé de t'appeler."
Je me figeai à la mention de son nom.
"Bella, je vois bien que tu es attachée à mon frère, peut être plus que n'importe quelle autre fille ne l'a jamais été. Je ne comprends pas. Pourquoi es-tu partie hier soir?"
"Tu ne comprends donc pas Rosalie? Je le vois partout. Quand je ferme les yeux, je le vois. Quand je dors, je le vois dans mes rêves. Quand je vais voir d'autres mecs, je le vois encore. Je ne veux pas de ça. Je ne veux pas avoir le coeur brisé dans un mois quand il m'aura larguée parce qu'il se sera lassé de moi."
"Il t'aime Bella, ça se voit."
"Peut être maintenant, mais dans un mois, il en aimera une autre."
Rosalie secoua la tête. "Je pense vraiment ce que je dis Bella. Cette fois-ci, c'est différent."
"On peut parler d'autre chose s'il vous plait les filles?" J'en avais assez d'Edward. J'y pensais déjà assez, ce n'était pas la peine d'en rajouter une couche. Ça faisait trop mal.
Les larmes revinrent, je ne parvins pas à les arrêter. Notre baiser d'hier soir me hantait, la douleur dans sa voix, son visage magnifique, la manière dont il me tenait alors que nous dansions. Les larmes coulaient à flots. Je pleurais dans le lit, Alice et Rosalie près de moi.
Tu vois Bella, il a encore réussi à te faire mal. Tu savais à quoi t'attendre en l'embrassant.
Je n'arrêtai pas de pleurer, et tout ce temps, Alice et Rosalie m'avaient tenue dans leurs bras, sans rien dire. Pleurer m'avait tellement épuisée que je finis par m'endormir dans leurs bras.
Je fus réveillée par quelque chose de mouillé sur ma tête. J'ouvris les yeux prudemment et découvris le visage de ma mère qui posait un linge humide sur mon front. "Bonsoir." Me dit-elle alors que j'ouvrais les yeux. Elle me sourit.
Je lui souris faiblement en retour. Je regardai autour de moi mais ne trouvai pas Alice et Rosalie. Renée, qui avait dû deviner ce que je cherchais, me dit doucement."Elles sont parties il y a un quart d'heure. Elles sont restées toute l'après midi. Tu as de très bonnes amies. Elles t'ont laissé un mot. C'était le seul moyen pour qu'elles acceptent de partir."Dit elle en désignant un morceau de papier sur ma table de nuit."Tu as faim? Tu veux que je te prépare quelque chose?"
Jusque là, je ne m'étais pas rendue compte que j'avais dormi autant. Je jetai un oeil à mon réveil. 19H43. J'avais passé ma journée à dormir. Et cette nuit, j'allais une fois de plus passer mon temps à me tourner et me retourner dans mon lit et penser à lui sans arrêt.
"J'ai pas vraiment faim."
"Tu dois manger quelque chose ma puce. Je pourrais te ramener un bol de soupe, peut être. Ça passerait mieux."
Je me dis que peut être si je mangeais ça irait mieux, donc j'acquiesçai. Ma mère ouvrit un peu la fenêtre pour aérer et descendit.
Je pris le papier et l'ouvris. Je ne reconnus pas l'écriture, donc j'imaginai qu'il s'agissait de Rosalie.
Chère Bella,
Nous sommes terriblement désolées de ne pas être là à ton réveil, mais ta mère nous a pratiquement foutus dehors, afin d'être sûre que nous soyons rentrées à temps pour le diner. Ta mère aurait bien préparé quelque chose, mais nous ne voulions pas abuser de son hospitalité.
Nous espérons que tu as bien dormi, car tu avais vraiment l'air épuisée.
Nous ferons tout pour que tu remontes la pente Bella. Nous viendrons ce week-end pour te soutenir. Si tu préfères rester seule, nous comprendrons. Nous pensions seulement que tu apprécierais d'avoir un peu de compagnie. Et bien sûr, Alice, Angela et moi sommes là pour toi. Donc si tu ne nous donnes pas de nouvelles d'ici là, nous serons demain devant ta porte.
Ça ira, on va t'aider!
Gros bisous et câlins,
Alice et Rosalie.
Quelle chance j'avais d'avoir d'avoir d'aussi bonnes amies. Bien sûr que je voulais qu'elles viennent, même si je ne serais pas de très bonne compagnie. Je devais essayer de penser à autre chose.
Le reste de la soirée, je ne parvins pas vraiment à me changer les idées.
Après avoir avalé mon bol de soupe, j'allai sous la douche. Mes cheveux étaient dans un état pas possible à cause de la laque d'hier. Je mis un temps fou à les rincer. Je mis un gros jogging pour avoir bien chaud et descendis rejoindre mes parents dans le salon. Renée et Charlie étaient dans le canapé. Ma mère était allongée, la tête posée sur mon père. Comme il n'y avait plus de place dans le canapé, je m'assis dans un fauteuil. Je repliai mes jambes contre moi et les entourai de mes bras. Je restai une heure ainsi, à fixer la télé, mais je ne pourrais même pas dire de quoi parlait le film. Tout ce que je savais, c'est que ce n'était pas un film de mon époque, plutôt un film des années soixante. Je ne comprenais pas comment, après avoir dormi toute la journée, je pouvais encore avoir sommeil. Je souhaitai une bonne nuit à mes parents et montai me mettre au lit, où je passais une fois de plus la nuit seule.
POV Edward
Je faisais les cent pas dans le salon. Alice et Rosalie étaient allées voir Bella, et ça faisait des heures qu'elles étaient parties. Je commençais à perdre patience, je voulais savoir comment elle allait. Depuis que j'étais revenu du lycée, je faisais les cent pas, trop stressé pour rester assis. Je devais taper sur le système de Jasper et Emmett, mais pour le moment, cela m'importait peu. Non, c'était Bella qui m'importait à cet instant.
"Elles arrivent." Dit Emmett. Il fit un signe de la tête en direction de la fenêtre devant laquelle la BMW de Rosalie arrivait. Je mourais d'envie de courir dehors pour demander ce qu'il se passait. Si c'était de ma faute si elle n'était pas venue aujourd'hui. Mes jambes refusaient de m'obéir, je n'arrivais pas à avancer un pied devant l'autre. Voulais-je vraiment savoir si c'était de ma faute?
Et si elle ne ressentait pas la même chose que moi? Comment allais-je me comporter en sa présence si c'était le cas?
Alice et Rosalie entrèrent prudemment. Etait-ce à cause de moi qu'elles entraient si prudemment? Même Emmett prenait garde de ne pas sortir de blagues douteuses.
Alice et Rosalie enlacèrent brièvement leurs amoureux et allèrent s'assoir sur le canapé, près de là où je me trouvais. Leurs yeux évitaient les miens. Je ne pris pas la peine de m'assoir, ni de les regarder.
"Alors?" Murmurai-je. Mes yeux fixaient toujours le sol, voir leur expression m'effrayait.
Alice tripota nerveusement un fil de son pull et Rosalie prit également le temps de réfléchir à sa réponse. C'était grave à ce point?
"Elle... Elle ne va pas bien du tout."
Je me pinçai l'arrête du nez.
"Elle est complètement déprimée." Poursuivit Rosalie."Pour te dire la vérité, elle est amoureuse de toi." Aux paroles de Rosalie, je sentis l'espoir gonfler en moi. Alice ne l'interrompit pas. Mais pourquoi me disait-elle tout cela?
"A ta place, je ne me réjouirais pas trop vite. Elle a peur qu'il se passe la même chose que lors de tes précédentes... Relations, si on peut les appeler comme ça." Ajouta-t-elle avec sarcasme.
Celle-là, je ne m'y attendais pas."Elle a peur que je la prenne pour un bouche-trou?"
"Ça ne serait pas la première fois que tu prendrais quelqu'un pour un bouche-trou Edward."Souffla Alice.
J'arrêtai de tourner en rond et me postai devant Alice, jambes écartés et bras croisés. "Mais c'est différent, Bella est différente. Je ne pourrais jamais lui faire cela. Je ne lui briserai jamais le coeur. Si je le faisais, je briserais le mien avec. Je ne lui ferai jamais de peine."
"Je le sais Edward, je le sais. Mais le problème, c'est qu'elle, elle ne le sait pas!"
"Il faut que je lui montre à quel point elle est importante à mes yeux." Je m'assis entre Alice et Rosalie en me prenant la tête dans les mains.
Alice me prit la main gauche, et Rosalie la droite. "Peut-être devrais-tu laisser Bella un peu tranquille. On lui a promis d'aller la voir ce week end. Tu devrais peut-être attendre lundi, quand elle retournera en cours."
Tout le week-end?"Je ne sais pas si je pourrais tenir jusque là." Confessai-je. "Et puis, si elle ne revenait pas lundi?"
"On fera tout ce qu'on peut. Laisse lui du temps Edward. Ce ne serait pas la première à être remplacée comme ça. C'est l'idée que tu la largues qui la met dans cet état, pas le fait que tu l'aies embrassée." Rosalie essayait de dédramatiser la situation en faisant de l'humour.
Sa blague ne me fit pas vraiment rire et je sautai sur mes pieds, lançant un regard noir à ma soeur. Emmett sauta aussitôt afin de la défendre et m'écarta d'elle. "Tu sais bien que ce n'est pas ce qu'elle voulait dire, elle tout aussi attachée à Bella qu'à toi."
Il avait probablement raison. Rosalie aimait beaucoup Bella. Tous mes amis appréciaient Bella, et j'étais celui qui devait tout gâcher. Etais-je si horrible? C'était comme si j'étais celui qui était là pour leur rendre la vie impossible.
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Tout le samedi je ne vis pas Bella. Sa présence me manquait, ses yeux bruns me manquaient, ainsi que ses lèvres douces, son odeur, ses joues rougissantes.
Ce samedi passa très lentement. Rosalie avait passé la journée entière chez Bella avec Alice et Angela. Jasper et Emmett essayaient par tous les moyens de me rendre le sourire et me changer les idées.
"Bzzzzzzzz" Mon téléphone vibra dans ma poche de jean.
Je regardai le nom du correspondant et ouvris le clapet de mon téléphone."Rosalie" Dis-je, pas vraiment en état d'être vraiment intéressé.
"Edward, je suis chez Bella." Automatiquement, je rapprochai le téléphone de mon oreille, comme si j'avais peur de manquer quelque chose de la conversation. "Demain il fera beau, et nous voulons amener Bella à la maison pour profiter de la piscine. Comme ça elle sortira un peu de chez elle, hein..." Elle se tût brusquement.
"Qu'est ce que tu veux dire? Que demain je ne pourrai pas être à la maison?"
"Non, non Edward, c'est pas ce que je veux dire. Elle, hum... Elle serait contente de te voir – En fait, elle ne l'a pas dit clairement, mais on sait qu'elle serait contente de te voir – Elle sait que tu seras là demain. Je voulais juste te prévenir pour que demain tu ne sois pas surpris en voyant Bella devant chez nous."
Bella venait ici? Elle venait chez nous? Le soulagement et le bonheur s'emparèrent de moi. J'allais revoir Bella.
Rosalie poursuivit."Essaye de ne pas trop la pousser, joue la cool avec elle, et vas-y doucement. Je sais que tu l'aimes, mais tu dois être patient avec elle."
Je hochai de la tête, mais me rendis compte de suite qu'elle ne pouvait pas le voir. J'étais tellement dans mes pensées que je n'avais pas remarqué que j'étais au téléphone. "Merci Rosalie, pour tout."
"De rien p'tit frère! On arrivera demain vers deux heures. A demain!"
"A demain." Dis-je en refermant mon téléphone.
"Pourquoi Rosalie t'appelle et pas moi?" Demanda Emmett depuis le salon.
Je ne répondis pas à sa question. "Bella vient demain." Dis-je. Bella venait vraiment ici!
Jasper haussa un sourcil. Je lui expliquai rapidement. "Elles viennent nager demain, et Bella vient avec elles.
Un sourire se fendit sur le visage d'Emmett. "Ça fait longtemps que je n'ai pas vu Rosalie en bikini."
Dit-il en faisant aller ses sourcils de haut en bas plusieurs fois.
"Tu es désespérant." Rit Jasper en lui donnant un coup de poing dans le bras. Puis il se tourna vers moi."Qu'est-ce-que tu vas faire?"
Je haussai les épaules. Je ne savais pas encore ce que j'allais faire, J'avais ruminé toute la journée à chercher ce que j'allais lui dire. Et je n'en avais toujours aucune idée. Je ne savais pas par où commencer. Je ne lui demanderais pas pourquoi elle était partie. Si elle veut me le dire, elle me le dirait d'elle même. Comme me l'avait dit Rosalie, je ne devais pas la brusquer.
Le rire d'Emmett me sortit de mes pensées. "Je suis impatient de voir Bella dans la piscine, la connaissant, elle glisserait et tomberait à l'eau." Jasper rit avec Emmett, et je ne pus faire autrement que de rire à mon tour.
Pour la première fois de ma vie, j'étais nerveux à cause d'une fille. J'avais toujours été sûr de moi et je savais toujours ce que je devais faire ou ne pas faire. Là, je n'avais pas la moindre idée d'où je mettais les pieds.
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On était maintenant dimanche, il était une heure et quart. Encore trois quarts d'heure, et elle serait devant moi, elle et son magnifique visage. Je n'avais pas pu dormir de la nuit, tellement j'étais nerveux à propos d'aujourd'hui. Emmett et Jasper étaient déjà là. Rosalie et Alice venaient de partir chercher Bella.
Carlisle et Esmée étaient au travail. Esmée travaillait désormais sur de vieilles maisons. Elle les retapait et s'assurait qu'elles deviennent habitables. C'est pour cela qu'elle était moins souvent à la maison.
En effet, il faisait chaud dehors. Emmett, Jasper et moi nous étions déjà mis en maillot et étions en ce moment assis dans la cuisine. Enfin, eux étaient assis. J'étais trop nerveux pour rester tranquillement assis donc je faisais les cent pas dans la cuisine.
On se rapprochait de plus en plus de deux heures, et j'étais de plus en plus stressé. Encore une demi heure à attendre. Je ne voulais pas de malaise entre Bella et moi. Je resterais moi même, le garçon que j'étais avec les autres filles. L'Edward arrogant, le "charmant" Edward. Si je ne faisais pas ça, je me sentirais désespéré, de ne pas savoir comment agir avec elle. Donc je mettrai ma façade en place et oublier le reste.
Je décidai de piquer une tête dans la piscine pour remettre mes idées en place. J'allai à la piscine et plongeai dedans. J'appréciai l'eau froide en cette journée chaude. Je restai quelques temps sous l'eau, jusqu'à ce que l'air me manque. Quand je manquai d'air, je revins à la surface. Mon visage se réchauffa immédiatement au soleil. Je tournai la tête vers la porte, et elle était là...Mon ange personnel.
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voilà, c'est tout pour aujourd'hui! Encore désolée pour l'attente. Promis, le prochain chapitre arrivera vite! A très bientôt!

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